Quelles sont les méthodes pour communiquer et faire passer ses messages au travail ?

Transmettre un message, vous affirmer, interrompre l’agressivité, savoir écouter, etc. Ce sont les principaux challenges d’une meilleure entente professionnelle. Comment les braver ? Conseils de coachs dans trois cas fréquents. Dans le monde concurrentiel de la firme, la communication cible habituellement la domination plutôt que la transmission d’un message. Mais quelles sont alors les techniques afin de communiquer et transmettre vos messages au travail ?

Agissez en réunion

D’après Daniel Grosjean, coach et consultant RH, planifiez votre acte avec un esprit confiant, positif, confiant. Pour ce faire, posez-vous la question si elle va réellement satisfaire les désirs de vos interlocuteurs. Si chacun veut exiger sa vérité à l’autre, la querelle est certaine. À travers la vue, l’écoute et le silence, démontrez que vous les écoutez. Ne vous placez pas en retrait du cercle, dans une position de fuite ou de mépris.

Gardez votre posture droite, ouvrez les épaules, décroisez les bras tout en affichant que vous êtes accueillant et confiant. Quand c’est le moment d’agir :

  • Évaluez l’enrichissement que les contributions amènent au programme commun,
  • discutez avec un ton bas en faisant un aveu d’impuissance, mais avec du sang-froid. Pour ce faire, accompagnez votre opinion avec des attitudes claires (des gestes secs des mains, particulièrement). Sans oublier les regards affirmés.

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Réalisez une observation à un collègue

Les remarques positives se réalisent en public, les réprimandes en privé. Selon Bernard Sananès, psychologue, la règle à considérer est de prendre en compte votre interlocuteur avec bienveillance. Placez-vous également à sa place. Compte tenu de la personnalité de la personne concernée, comment peut-elle écouter cette réprimande ? Si le cas était inversé, comment aimeriez-vous que quelqu’un vous le dise afin qu’il soit admissible ?

Avant tout, adaptez-vous sur les faits, en fournissant une description précise et abrégée. Ensuite, selon Daniel Grosjean, afin d’échapper au rapport de force, faites sortir votre sentiment au lieu d’un jugement. Discutez au « je » à la place de « tu » accusateur. Comme exemple, au lieu de mentionner « Tu m’as fait un sale coup », avantager la subjectivité de la remarque. Pour cela, dites : « J’ai l’impression d’avoir été mis à l’écart et cela m’a contrarié. »

Complétez avec : « Je peux me tromper », avant de lui donner la parole pour qu’il se défende. Particulièrement, entendez les circonstances atténuantes qu’il peut mentionner. Ensuite, finissez la discussion en garantissant que vous l’avez écouté. Toutefois, vous présumez que cela ne se répètera pas.

Soumettez un souci à votre supérieur

D’après Bernard Sananès, particulièrement, n’entrez pas dans son bureau sans le prévenir, vous pourrez être rejeté. Dans une petite firme, vous pouvez solliciter un rendez-vous de manière informelle. Dans une vaste entreprise, mieux vaut suivre la démarche. L’ensemble, c’est de provoquer le désir d’être reçu. Pour ce faire, exposez votre souci en matière de programme commun et non de contrariété personnelle.

Dès que vous vous trouvez avec votre chef, démontrez-lui que vous amenez une alternative plus qu’une difficulté. À titre d’exemple, pour obtenir une hausse de salaire, mieux vaut se remémorer les prouesses d’avant et solliciter à modifier sa tâche.